Le travail à corps ouvert, les ouvriers de la Cofrablack

l’Usine Nouvelle


Par Cécile Maillard

« Après une journée de travail, le corps accuse le coup. Une subtile réalité captée par le photographe dominique Delpoux chez les ouvriers de la Cofrablack, près de Bordeaux. Gueules noires, c’est ainsi que ces ouvriers se définissent parfois. ils produisent du noir de carbone, une fine poussière qui s’infiltre partout. Mais le plus pénible selon eux, ce sont les trois-huit, le chargement des camions, le travail dans le froid ou le chaud. Aucuns d’eux ne veut se plaindre. Le travail, c’est difficile pour tout le monde. Mais tous reconnaissent une fatigue des muscles et une usure des articulations. »

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